Deux amendements ont été soumis qui affectent les pénalités pour les certificats énergétiques.
Ils encadreront les futures infractions et sanctions des certificats énergétiques en termes de certification de l'efficacité énergétique des bâtiments et de régime de sanctions. Cela comprend le projet de loi sur la réhabilitation, la régénération et la rénovation urbaines.
L'accent sera mis sur les sanctions des certificats énergétiques et le régime des infractions possibles :
Il sera considéré comme des infractions très graves de falsifier les informations dans la délivrance ou l'enregistrement des certificats, d'agir en tant que technicien certificateur ou agent indépendant autorisé à contrôler la certification sans compter l'autorisation pertinente, et de faire de la publicité dans la vente ou la location d'immeubles ou partie de bâtiments une certification qui n'est pas appuyée par un certificat valide dûment enregistré.
Les infractions graves consisteront à ne pas se conformer à la méthodologie de calcul de la procédure de base de certification, à ne pas présenter le certificat à la communauté autonome pour enregistrement, à ne pas incorporer le certificat d'efficacité énergétique du projet dans le projet d'exécution de la propriété, à afficher une étiquette qui ne correspond pas au certificat réel, et vendre ou louer un bien sans que le vendeur ou le bailleur ne remette le certificat en cours de validité à l'acheteur ou au locataire.
Enfin, ils constitueront des infractions mineures faisant la publicité de la vente ou de la location d'immeubles ou d'unités immobilières qui doivent avoir un certificat sans mentionner leur qualification, ne pas afficher le label d'efficacité lorsqu'il est obligatoire ou en afficher un sans le format et le contenu minimum, délivrer des certificats sans le information minimale, non-respect des obligations de renouvellement ou de mise à jour des certificats, ne pas inscrire le certificat dans le Cahier des Charges et diffuser la notation du projet lorsque le bâtiment achevé existe déjà.
En outre, la commission d'une infraction mineure constituera une infraction grave si une sanction ferme avait été infligée au contrevenant l'année précédente pour le même type d'infraction, et elle serait très grave si une sanction ferme avait été infligée pour la même action au cours des trois années précédentes. Les communautés autonomes auront les compétences en la matière, ce qui affectera les personnes physiques ou morales, ou les communautés de biens qui les engagent « même par simple inobservation ».
Concernant les sanctions pour les certificats énergétiques, elle sera de 300 à 600 euros pour les délits mineurs, de 601 à 1 000 euros pour les graves, et de 1 001 à 6 000 euros pour les très graves. Toutefois, si le bénéfice que le contrevenant a tiré de l'infraction excède le montant de la sanction, il lui sera infligé un montant « équivalent » audit bénéfice, compte tenu du dommage produit, de l'enrichissement injustement obtenu et du concours d'intention ou réitération.
D'EuropaPress.
Amendements présentés au Congrès pour le projet de loi sur la réhabilitation, la régénération et la rénovation urbaines. Apparemment, plus que des infractions ou des sanctions dans les certificats énergétiques, il y a des collectes pour le consommateur qui est déjà suffisamment puni par la crise économique.