Une réalité est que changement climatique Elle affecte de manière disproportionnée les régions les plus pauvres du monde où la capacité d'adaptation est la plus faible. C'est un fait que nous pouvons voir tous les jours dans l'actualité et, même si cela semble lointain, cela nous affecte tous.
le Fonds vert pour le climat - GCF(GCF), a été adopté comme mécanisme financier du Convention-cadre des Nations Unies sur le Changement climatique (CCNUCC) fin 2011, basé en Corée du Sud. Son objectif est de contribuer de manière ambitieuse à la réalisation des objectifs objectifs d'atténuation et d'adaptation au changement climatique de la communauté internationale. Un fonds mondial qui vise à soutenir les pays en développement, à investir dans les énergies renouvelables, dans les technologies « vertes », pour les accompagner contre le changement climatique et ses conséquences. Des conséquences qui en réalité, et dans un premier temps, bien qu'ils ne veuillent pas l'assumer, sont causées par les pays riches.
Aujourd'hui, après la conférence internationale des donateurs à Berlin, Bien que l'objectif initial de collecte, qui s'élevait à 10 000 millions de dollars (7 900 millions d'euros), n'ait pas été atteint, la trentaine de pays réunis se sont engagés à fournir un fonds de 9 300 millions de dollars pour les quatre prochaines années.
Il y a quelques jours, lors du sommet du G20 en Australie, on pouvait reconnaître que les États-Unis avaient promis 3 milliards de dollars et le Japon 1,5 milliard de dollars. L'Allemagne, la France et la Grande-Bretagne ont promis environ 1 milliard de dollars chacun, et la Suède plus de 500 millions de dollars.
De plus petites quantités ont été proposées aujourd'hui par des pays comme la Suisse, la Corée du Sud, les Pays-Bas, le Danemark, l'Espagne, la Norvège, le Mexique, le Luxembourg et la République tchèque.
Dans quelques jours, en décembre, de Lima accueillera la conférence internationale des Nations Unies sur le climat. Rencontre vitale pour parvenir à un accord environnemental mondial. La réunion d'aujourd'hui à Berlin est la première réunion officielle des donateurs du Fonds vert pour le climat (FVD).
Certains experts soulignent que la contribution qui est apportée est vraiment un « petit changement » par rapport au besoin réel.. On pouvait déjà identifier dansSix graphiques qui confirment le changement climatique de la terre par la main de l'homme que nous sommes sur la mauvaise voie. Bien que l'Europe approuve la réduction du CO2 à 40 %, une augmentation des énergies renouvelables à 27 % et un objectif de 27 % pour l'efficacité énergétique, nous ne devons pas oublier que nous sommes seuls sur la planète.
Du journal le "l'économiste" nous prévient déjà que :
Mais la réalité est que la pollution continue d'augmenter considérablement selon le rapport publié cette semaine par l'ONU - The Emissions Gap Report 2014 où l'ONU avertit, selon ses scientifiques, que le monde doit réduire les émissions de CO2 à zéro d'ici 2070 au plus tard, pour maintenir le réchauffement climatique en dessous de niveaux dangereux et éviter une catastrophe mondiale.
En tant que données que nous pouvons identifier à partir de Fonds vert pour le climat. D'ICI, les contributions au cours des dernières années selon les pays. Depuis l'Espagne, je ne peux identifier aucune contribution dans le moteur de recherche et si on va aux contributions par an ICI (rubrique Rapports Périodiques) je n'identifie rien non plus…. J'espère que certains lecteurs nous éclaireront davantage sur le sujet, même si cette année nous contribuons "apparemment" à 0,016 milliard de dollars. Décidément, le changement climatique ne va pas avec l'Espagne et, encore moins, ce qui arrive aux pays pauvres !
Les références:
Si vous avez aimé l'article, notez et partagez !